9 févr. 2019

Le paradoxe de Florence

Florence, vue générale (photo par Axel)

 Il est des villes dont on rêve de fouler les rues… Des destinations nimbées de l’auréole d’un mystère térébrant, propice à toutes les fantasmagories. Des endroits dont on se dit : « là-bas, j’irai un jour ! » Or il advient que parfois les songes se réalisent…

Et la déconvenue à l’avenant (tous les fantasmes n’ont pas vocation à se parer du manteau du réel).

Ainsi de Florence avec ses flamboiements – la Renaissance à son zénith. Certes la vue depuis de belvédère surplombant la ville est à couper le souffle – puis les yeux s’habituent... Car une fois en contrebas, parmi les vestiges indemnes des gloires passées, la cité prend ses allures de musée à ciel ouvert ; un parc d’attraction charmant, tapissé d’une foule bariolée et avide. Bien sûr, la Galerie des Offices et ses célèbres Botticelli…. Bien sûr les statues de la place della Signora et le Ponte Vecchio ! Bien sûr…

Ponte Vecchio (photo par Axel)

Dans la Galerie des Office... (photo par Axel)

Piazza della Signora (photo par Axel)
Piazza della Signora (photo par Axel)

On m’excusera de préférer à la pompe des Médicis le charme obscur de Volterra et ses vampires – Et plus encore les beautés ineffables de San Gimignano…

San Gimignano (photo par Axel)


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