Il fut un temps chronophage ; mangeant parfois
tout l’espace… Bien sûr le plaisir d’écrire et partager ici un peu de ses
appétences. Suintait alors certainement aussi une certaine forme, si ce n’est d’aliénation,
le mot serait trop fort, du moins de presque nécessité. Le rituel du presque
billet hebdomadaire…
Mais les époques mentales changent. D’autres envies
redessinent nos paysages ; esquissées parfois sur la pointe des pieds, délicates
ou impérieuses. Selon.
Et puis la vie. Toujours à nous surprendre !
Reste un attachement fugace à ces pages – mais en
pointillé désormais.
Aussi se contenter de la griserie à parcourir les rue
de Sète, en quête de ce que certains appellent des graffitis, et d’autres du « street
art ». Sète, musée à ciel ouvert disent les invites à se perdre sur les
pentes de la cité occitane.
Quelques photographies…