Nascentes moritur, finisque ab origine pendet
(Nous mourrons en naissant, et la fin dépend de l'origine)
Manilius, (Astronomica, 4,16)
Böcklin Arnold - Attaqué par les pirates (Attack by pirates) - 1880 |
Celui qui n'est pas prêt à affronter la mort au terme de sa vie, ne sera pas en paix quand tombera la nuit.
Proverbe indien
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Böcklin Arnold
1827 - 1901
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Arnold Böcklin - L'île des morts - 1880 |
Böcklin Arnold - Destroyed house in Kehl - 1870 |
Böcklin Arnold - Bois sacré gardé par une licorne (Holy wood guarded by a unicorn) - 1871 |
Böcklin Arnold - La chapelle (The chaptel) - 1898 |
Arnold Böcklin - Le bosquet sacré (The sacred groove) - 1882 |
Böcklin Arnold - Ruines dans un paysage au clair de lune (Ruins in the moonligh landscape) - 1849 |
Böcklin Arnold - Venus abandonnée - 1897 |
Böcklin Arnold - Angélique est gardée par un dragon (Angelika guarded by a dragon) - 1872 |
Böcklin Arnold - Ruines d'un château (Castle ruins) - 1897 |
Böcklin Arnold - La peste (The plague) - 1898 |
Böcklin Arnold - The surf - 1883 |
Böcklin Arnold - Mer calme - 1887 |
Böcklin Arnold - Méduse (Medusa) |
Böcklin Arnold - Taverne dans la Rome antique (Tavern in ancient Rome) - 1867 |
Böcklin Arnold - Etude pour Guerre (Study to War) - 1896 |
Böcklin Arnold - La mer (The sea) |
Böcklin Arnold - Ruines au bord de lamer (Ruins by the sea) - 1880 |
Böcklin Arnold - Nymphe (Nymph) - 1875 |
Böcklin Arnold - Ulysse et Calipso - 1883 |
Böcklin Arnold - Paysage romain (Roman landscape) - 1852 |
Böcklin Arnold - Le joueur de cornemuse (The bagpiper) |
Böcklin Arnold - La chasse de Diane (The hunt of Diana) - 1896 |
Böcklin Arnold - Villa au bord de mer (Villa by the sea) |
Böcklin Arnold - Pétrarque à la source du Vaucluse (Petrarch by the fountain of Vaucluse) |
Site consacré à Arnold Böcklin
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QUELQUES AUTOPORTRAITS
Self portraits
Self portrait - 1873 |
Self portrait - 1893 ________________________________ « ... dès 1886 dans la célèbre Gazette des Beaux-Arts, le poète et critique Jules Laforgue avait su exprimer en quelques traits perspicaces la singularité de Böcklin, cet ‘ étrange maître qui n’est d’aucune école, et qui continue à élaborer ses œuvres solitaires et fantastiques, dignes des retraites du dernier roi de Bavière. (...) On reste stupéfait, poursuit-il, de cette unité dans le rêve, de cet aveuglement dans le fantastique, de ce naturel impeccable dans le surnaturel.’ » Extrait d'un article de Recht Roland (2001) |
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