25 déc. 2012

Böcklin Arnold

Nascentes moritur, finisque ab origine pendet
(Nous mourrons en naissant, et la fin dépend de l'origine)

Manilius, (Astronomica, 4,16)

Böcklin Arnold - Attaqué par les pirates (Attack by pirates) - 1880

Celui qui n'est pas prêt à affronter la mort au terme de sa vie, ne sera pas en paix quand tombera la nuit.

Proverbe indien
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Böcklin Arnold

1827 - 1901
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Arnold Böcklin - L'île des morts - 1880
Böcklin Arnold - Destroyed house in Kehl - 1870
Böcklin Arnold - Bois sacré gardé par une licorne (Holy wood guarded by a unicorn) - 1871
Böcklin Arnold - La chapelle (The chaptel) - 1898
Arnold Böcklin - Le bosquet sacré (The sacred groove) - 1882
 Böcklin Arnold - Ruines dans un paysage au clair de lune (Ruins in the moonligh landscape) - 1849
Böcklin Arnold - Venus abandonnée - 1897
Böcklin Arnold - Angélique est gardée par un dragon (Angelika guarded by a dragon) - 1872
Böcklin Arnold - Ruines d'un château (Castle ruins) - 1897

Böcklin Arnold - La peste (The plague) - 1898
Böcklin Arnold - The surf - 1883
Böcklin Arnold - Mer calme - 1887
Böcklin Arnold - Méduse (Medusa)
Böcklin Arnold - Taverne dans la Rome antique (Tavern in ancient Rome) - 1867
Böcklin Arnold - Etude pour Guerre (Study to War) - 1896
Böcklin Arnold - La mer (The sea)
Böcklin Arnold - Ruines au bord de lamer (Ruins by the sea) - 1880
Böcklin Arnold - Nymphe (Nymph) - 1875
Böcklin Arnold - Ulysse et Calipso - 1883
Böcklin Arnold - Paysage romain (Roman landscape) - 1852
Böcklin Arnold - Le joueur de cornemuse (The bagpiper)
Böcklin Arnold - La chasse de Diane (The hunt of Diana) - 1896
Böcklin Arnold - Villa au bord de mer (Villa by the sea)
Böcklin Arnold - Pétrarque à la source du Vaucluse (Petrarch by the fountain of Vaucluse)
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Site consacré à Arnold Böcklin
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QUELQUES AUTOPORTRAITS
Self portraits

Self portrait - 1873
Self portrait - 1893

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« ... dès 1886 dans la célèbre Gazette des Beaux-Arts, le poète et critique Jules Laforgue avait su exprimer en quelques traits perspicaces la singularité de Böcklin, cet ‘ étrange maître qui n’est d’aucune école, et qui continue à élaborer ses œuvres solitaires et fantastiques, dignes des retraites du dernier roi de Bavière. (...) On reste stupéfait, poursuit-il, de cette unité dans le rêve, de cet aveuglement dans le fantastique, de ce naturel impeccable dans le surnaturel.’  »

Extrait d'un article de Recht Roland
(2001)

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