Voici des trilles, enveloppés dans un linceul choisi.
Les sables des déserts enveloppent mon âme.
Et projettent leur soif sur des dunes crevées de soleil.
Mille paillettes éclatées sur les étoiles.
Tel le phénix qui renaît de ses cendres.
Ecouter jusqu’à plus soif, la mélodie lancinante.
Sans elle je n’aurai jamais pu revoir le soleil.
Ce cri désespéré des cœurs montant aux nues.
La langue pétrie de solitude
S’apaise et s’élève….
Demain est un jour nouveau.
« Traverser les grandes eaux – sublime réussite »
Ainsi va l’oracle.
YOM
La musique et les mots vont très bien ensemble...
RépondreSupprimerJe vous remercie, chère Christine, de ce petit mot...
RépondreSupprimerL'oiseau qui ré-apprend à voler sait ce qu'il doit à la conteuse qui habite poétiquement le monde.
Bises chaleureuses du Nord.
C'est moi qui vous remercie, cher Axel.
SupprimerVous souhaitant une belle journée ensoleillée.
Le Vide, c'est la grandeur même
Il est comme l'oiseau qui chante spontanément
et s'incorpore à l'Univers
Zhuang Zi