6 févr. 2018

Le monde comme il va... Lorenzaccio



Lorenzaccio, à Philippe Strozzi, parlant des florentins, ennemis du tyran qu'il vient d'assassiner :

« Je ne les méprise point, je les connais. Je suis très persuadé  qu'il y en a très peu de très méchants, beaucoup de lâches, et un grand nombre d’indifférents. Il y en a aussi de féroces (…) qui ont trouvé  dans cette affaire une petite occasion d’égorger tous leurs chanceliers en plein midi, au milieu des rues ».  

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