Lorenzaccio, à Philippe Strozzi, parlant des florentins, ennemis du tyran qu'il vient d'assassiner :
« Je ne les méprise point, je les connais. Je suis très persuadé qu'il y en a très peu de très méchants, beaucoup de lâches, et un grand nombre d’indifférents. Il y en a aussi de féroces (…) qui ont trouvé dans cette affaire une petite occasion d’égorger tous leurs chanceliers en plein midi, au milieu des rues ».
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