« … Delvaux manie le clair-obscur en virtuose, mais sa façon de l’employer s’éloigne du simple réalisme. Dans les scènes qu’il représente, les éclairages ne se plient pas docilement aux lois de l’optique. Le jeu des ombres et des lumières possède son propre rythme… »
Paul Delvaux - Train de nuit - 1947 |
« Non, jamais, je n’ai jusqu’à présent peint un tableau qui soit vraiment un rêve, jamais »
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[1897 - 1994]
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Paul Delvaux - La ville inquiète - 1941 |
Paul Delvaux - ??? |
Paul Delvaux - Femme à la rose - 1936 |
Paul Delvaux - Le canapé bleu - 1967 |
Paul Delvaux - Le jardin - 1971 |
Paul Delvaux - Le musée Spitzner - 1947 |
Paul Delvaux - Little Marie - 1969 |
Paul Delvaux - Solitude 1956 |
Paul Delvaux - Lunar city - 1944 |
Paul Delvaux - Messaging - 1980 |
Paul Delvaux - Night sea - 1976 |
Paul Delvaux - Pompéi - 1970 |
Paul Delvaux - Sabbath - 1960 |
Paul Delvaux - Squelettes dans un bureau - 1944 |
Paul Delvaux - Le congrès - 1941 |
Paul Delvaux - L'entrée dans la ville - 1940 |
Paul Delvaux - The office of evening - 1971 |
Paul Delvaux - La vénus endormie - 1944 |
Paul Delvaux - Les promeneuses - 1947 |
Paul Delvaux - ??? |
Paul Delvaux - Aurore - 1964 |
Paul Delvaux - Les phases de la lune - 1939 |
Paul Delvaux - L'énigme - 1940 |
Paul Delvaux - Le jardin des courtisanes - 1943 |
Paul Delvaux - La tentation de Saint-Antoine -1945 |
Paul Delvaux - The lady of Loos - 1969 |
Paul Delvaux - Le dialogue - 1974 |
Paul Delvaux - Les chapeaux fleuris - 1969 |
Paul Delvaux - ??? |
Paul Delvaux - Nu allongé - 1964 |
Paul Delvaux - ??? - 1975 |
Paul Delvaux - L'homme dans la rue - 1940 |
Paul Delvaux - Ombres - 1965 |
Paul Delvaux - Sérénité - 1970 |
Paul Delvaux - Abandon |
Paul Delvaux - Deux personnages en visite - 1934 |
Paul Delvaux - Les amies - 1968 |
Paul Delvaux - Les rivales - 1966 |
Paul Delvaux - Les femmes tumultueuses - 1968 |
Paul Delvaux - Le songe - 1941 |
Paul Delvaux - Conversation - 1944 |
Paul Delvaux - L'appel - 1944 |
Paul Delvaux - L'école des savants - 1958 |
Paul Delvaux - L'éloge du feu - 1963 |
Paul Delvaux - le viol - 1934 |
Paul Delvaux - Squelette - 1945 |
Paul Delvaux - Etude pour "Les promeneuses" - 1947 |
Paul Delvaux - Femme au miroir - 1948 |
Paul Delvaux - Magasin d'ostéologie - 1949 |
Paul Delvaux - La tente - 1966 |
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« Tout ce qui fait surface dans la partie apollinienne de la tragédie, le dialogue, est simple, clair et beau »
Nietzsche, Naissance de tragédie.
Paul Delvaux - L'éloge de la mélancolie - 1948 |
Frédéric Schiffter, Le charme des penseurs tristes
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Paul Delvaux |
« En fait, je n’éprouve pas le besoin d’une explication temporelle de ce que je fais, je ne sens pas davantage la nécessité d’appuyer sur la biographie (improbable) des personnages dont le tableau est, évidemment, la seule fin. Ces figures n’ont pas d’histoire : elles sont. Plus encore, elles ne possèdent pas d’expression en soi, et le fait qu’elles nous paraissent jolies, jeunes, fraîches résulte d’un concours d’éléments étrangers : brillant, légèreté, lumière »