Lorsque je me perds dans vos yeux il me prend à rêver de ces
contrées merveilleuses ;
Ce pays où le cœur des amants palpite ses plus douces mélodies ;
Où les rivières se muent en des lits de baisers ;
Où les « bonjour » se tissent de caresses enflammées ;
Ces « Je t’aime » accrochés à nos corps emmêlés, ivres
de vie ;
Lorsque je me perds dans vos yeux je voudrais saisir l’éternité
aux saveurs délicieuses ;
Et me blottir contre vous
Et vous sentir contre moi
Félicité des jours heureux
Légèreté des novembres radieux
Lorsque allongés tous les deux, je m’abandonne éperdu à vos
sourires en allégresse ;
Cet instant d’extase où l’âme des amants se consume dans l’éternité ;
Où les fleuves embrassent l’océan – ivresse de l’amour ;
Où les « au revoir » se muent en promesses – magie
des toujours ;
Ces « je t’aime » murmurés au creux de l’oreiller,
saisis de beauté ;
Lorsque allongés tous les deux, je me love sur votre sein éperdu
de tendresse ;
Et me blottir contre vous
Et vous sentir contre moi
Félicité des jours heureux
Légèreté des novembres radieux
Il ne pleut pas sur mon cœur
Il ne neige pas sur mon âme
Il ne vente pas sur mes yeux
C'est la légèreté des novembres radieux ...
Magnifique.
RépondreSupprimerCes instants sont bénis.
Je m'en souviens.
Bien à vous.
Plessys