L’exposition récente au LAM consacrée à Anselm Kiefer et intitulée « La
photographie au commencement » m’a fait forte impression.
Des accrochages où le noir domine – référence explicite faite parfois à la Nigredo Alchimique …
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Ce qu’on peut lire autour de ces œuvres, est souvent pompeux et phraseux …
Circonvolutions pseudo-intellectuelles pour ne pas dire grand-chose.
Prêter des intentions là où il n’y en pas forcément. Chercher à tout décortiquer
ou justifier. Ou encore trouver du subversif dans un geste à l’ambiguïté
notoire – Y voir une manière d’habiter l’Histoire …
Passons donc allégrement sur ces « Occupations » pour leur préférer les sombreurs plus
éthérées, ainsi que les compositions cyclopéennes ! Et croiser Lilith,
Gilgamesh et Endiku …
De ce noir, plus noir que le
noir : une teinte s’accordant avec la couverture d’un petit livre de Pierre
Hadot, « Wittgenstein et les limites du langage ». Du
philosophe, haut perché dans sa cabane posée au-dessus d’un fjord norvégien, on
retiendra ici la sentence à propos :
« Ce dont on ne
peut parler il faut le taire »
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
Exposition Kieffer au LAM (photo par Axel) |
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