Toujours à propos de cette inexpressivité musicale de Clément Rosset, à la quelle je n’arrive pas véritablement à souscrire.
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Oomph ! |
Un morceau de musique dessinant des images sous la tête.
Un état d’esprit.
Un voyage aux confins des troubles de l’existence.
Des miroirs torves à blesser les plus beaux sentiments.
A les faire éclater dans les déserts où il n’y a rien à
faire.
Un état d’esprit.
Mais il est vrai ici que la voix,
associée à la musique, le texte aussi, même approximativement compris, rendent
sans doute un effet venant briser la neutralité toute relative des bulles
sonores venus se percuter en grappes amères sur les cœurs décousus.
Un état d’esprit.
Oomph! – On course
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Et puis cette autre évidence.
Une évidence que l’on repousse avec la force du désespoir.
Une évidence cependant.
Un autre monde, égrainé dans un infini de néant.
Ou replié dans une chambre on écoute la nuit, le bruit du
vent.
L’eau qui crépite et s’évapore.
Un état d’esprit.
Détroit –
Avec le temps
La musique : une tonalité affective...
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